Les hommages

Cher Papy, chère famille, chers amis,

Vous avez tous bien connu Mamy et vous avez certainement beaucoup de souvenirs des moments passés avec elle qui vous reviennent en tête.

J'ai envie de vous en raconter quelques-uns qui résument pour moi la grand-mère qu'elle était.

Mamy, avant d'être le petit cœur de Papy, avant d'être la maman de Jean-Luc, Guy et Marie-Claire, avant d'être la grand-mère et l'arrière grand-mère que nous avons connue, ce fut un petit bébé, né en novembre 1918. Elle nous racontait souvent que ses parents voulaient l'appeler Cécile, comme la patronne des musiciens. Mais que, comme le jour de sa naissance, le premier soldat du village était rentré de la guerre, le curé avait décidé qu'elle s'appellerait Victoire.

Ce prénom, elle ne l'aimait pas beaucoup, mais moi je trouve qu'elle le portait vraiment bien ! Jamais je n'ai vu Mamy baisser les bras ou perdre espoir. Pleine d'énergie, pendant des années, elle est venue, avec Papy, pour nous aider dans les travaux de la maison et pour s'occuper du potager.

Sa victoire, c'était aussi sa patience et sa persévérance. Quand Papy tempêtait, elle était là pour le soutenir et le réconforter. Si j'avais un problème, je savais que je pouvais compter sur elle pour trouver la solution ; peu importe le temps que ça prendrait, elle en viendrait à bout.

Qui dit victoire, dit fête. Et ça, Mamy, elle aimait faire la fête, rassembler son petit monde autour d'elle, pour une occasion ou juste pour le plaisir d'être ensemble. Elle se pliait en quatre pour décorer la table avec une belle nappe, de jolies fleurs, pour mitonner les petits plats qui feraient plaisir aux uns et aux autres (les petits oignons pour Florence, la charlotte au chocolat pour moi...).

La dernière fois que je suis allée voir Mamy, la veille de Noël, j'ai encore été frappée par sa joie de vivre, par sa gaité. Elle faisait coucou aux enfants et a pris Nina sur ses genoux.

Papy, je pense que je ne peux même pas imaginer la peine que tu ressens aujourd'hui. Merci d'avoir pris soin de Mamy comme tu l'as fait. Tu l'as rendue très heureuse. On est là aujourd'hui pour te soutenir.

Souvenirs très lointains mais tout de même assez précis d'une Maman au coeur ENORME, tout comme l'était ton Papa, Francis, ça doit être génétique chez vous ! Pensées émues vers toi et ta tribu, ta Maman doit être fière !!!

Mon ami Oscar,
Je viens d'apprendre ton décès je suis bien triste toi qui m'a appris le métier et toi qui m'a accompagné dans mes premières sorties 😜
Sincères condoléances je suis malheureusement a l'étranger pour ton incinération.
Salut mon ami.

lorsque j'ai appris cette nouvelle je ne peux m' empêcher de stopper ma voiture et pleurer comme un gosse
tu vas me manquer lorsque je serai sur Liège mes tasses de café vont être triste avec un manque de gentillesse
je ne t' oublierai jamais au revoir mon ami on se reverra peut être un jour pour trinquer au café des délices
ton copain pour toujoirs

Triste nouvelle, j'ai quand même eu la chance et le bonheur de vous avoir rencontrer.
Merci jessica

Veuillez recevoir mes condoléances très sincères et croire en mes respectueux sentiments.
Robert Remacle.

merci madame Josseline pour votre gentillesse et pour vos bons services .

Ma chère Tante Marie,

Tu étais la dernière des 5 filles de Nicolas Richard, un natif de Dalhem, un "rouge" acharné, dont le père avait lui-même été un "rouge" très actif.

Gamine, j'ai passé chez toi de merveilleuses vacances. Toujours de bonne humeur, c'était un vrai plaisir d'être à tes côtés même si ta vie n'était pas toujours facile. Que de souvenirs me viennent à la mémoire en cette soirée entièrement consacrée à ton souvenir. Certes, lorsque l'on grandit, on s'éloigne un peu, un mari, des enfants, le boulot ...

Depuis quelques temps cependant, je t'emmenais régulièrement chez Hugo à Richelle, dont tu appréciais tellement l'excellent café (c'est pas comme chez nous, disais-tu) mais aussi les crêpes ou les glaces. Et si d'aventure, j'arrivais plus tôt, pour t'emmener au restaurant, c'est là que nous allions déguster le dessert. C'était un vrai plaisir aussi pour mes petits enfants, surtout pour mon aînée, Fanny. Ils étaient tristes quand je leur ai annoncé la nouvelle de ton décès. Ils ont voulu regarder les photos, souvenirs des moments passés avec toi, puis ensuite écrire un petit mot, chacun avec son coeur.

Moi, quand j'étais à tes côtés, j'avais l'impression que j'étais encore un peu avec ma maman, disparue ... il y a plus de 27 ans déjà. Comme le temps passe!

Tu étais le dernier lien et il se délite ...

Repose en paix, ma chère Tante Marie.

Georgette Sante
Fille de Barbe Richard
Ses filles: Cathy, Cécile, Magali (Kairis)
Ses petits-enfants: Fanny & Juliette Corbesier, Megann et Nolann Philippart, Eva et Tom Nagy
Et Joseph Lepièce, mon compagnon qui nous accompagnait toujours dans nos virées gastronomiques

Sincères condoléances à toute la famille, Toutes les membres de la Maison regrettent déjà ton amitié de chaque jour.Certes , on te voyait décliner au point de ne plus pouvoir partager nos repas au restaurant .Je suis personnellement touché car tu fus une des premières à m'accueuillir à mon. entrée Aux Tilleuls et ton absence se remarque. MmeMarie-Anne JAKUBIAK , se joint à moi pour adresser ses condoléances émues à toute la famille Nous nous reverons un jour.

a toi mon petit joseph j'ai eu la chance de te connaitre de passer un peu de temps a discuter serieusement et oui tu savais le faire j'ai aime aussi tes betises que tu disais si bien tu vas me manqué nos discutions aussi le grand flamand rose est triste. comme tu le disais tu peux etre fiere de ta fille qui a prit grand soins de toi bon courage a toi justine et a ta famille

Chère Dany,
        Nous te présentons ainsi qu'à tes enfants toutes nos condoléances et te souhaitons beaucoup de courage pour surmonter cette pénible épreuve.

Gene, Mamylou,

Cela peut paraître simple et futile mais ce n'est que quand on perd quelqu'un à qui l'on tient que l'on se rend compte de la place et de l'importance qu'il a.

Alors j'ai cherché pendant longtemps, la carte, la phrase, la citation qui auraient pu mieux que par mes propres mots te dire à quel point tu comptes pour moi.

Mais quel intérêt ?

Alors aujourd'hui assis bien droit devant mon bureau (oui je sais je devrais travailler), j'essaye de t'exprimer, et ce, comme à un examen avec les mots les plus juste, toute l'affection et l'admiration que j'ai pour toi.

De l'Affection ! Comment ne pas en avoir pour une femme comme toi. Toi, la femme généreuse, sympathique, amusante et j'en passe.

De L'admiration ! Comment ne pas en avoir pour une femme de ta "trempe". Toi, qui par la force des choses as fait preuve d'une combativité hors du commun face à cet ennemi barbare et injuste.

d'ailleurs, cette force, j'essaierai tant que possible de m'en inspirer dans les moments difficiles

En tout cas, sache que je parlerai à "notre petit Jules" d'une femme hors du commun qui avait un courage et une détermination à toutes épreuves... Cette femme qui est sa Mamylou...

Tu vas nous manquer sacrément Gene...

Tendrement,

Justin
Ton beau-fils